Santé

La phase 3 du déconfinement a débuté le 22 juin 2020. Cependant la maladie très contagieuse, reste présente sur l’ensemble du territoire. Dans le département des Pyrénées-Orientales, en moyenne 200 personnes sont testées chaque jour, ce contrôle a mis en évidence 2 nouveaux cas positifs au Covid-19 depuis le début de la semaine. Il convient que chacun reste vigilant et applique strictement les gestes barrière.

D’après le nouveau bilan communiqué par l’Agence régionale de Santé (ARS), ce mercredi soir, un décès supplémentaire est à déplorer. Le bilan est donc de 31 personnes décédées des suites du coronavirus. Le bilan dans les Pyrénées-Orientales, fait état désormais de 19 hospitalisations, dont 8 en service de réanimation. 257 patients ont pu regagner leur domicile. Au total, 390 personnes sont décédées dans les hôpitaux en Occitanie. Le bilan de l'ARS

D’après le nouveau bilan communiqué par l’Agence régionale de Santé (ARS), ce lundi soir, un décès supplémentaire est à déplorer. Le bilan est donc de 29 personnes décédées des suites du coronavirus. Le bilan dans les Pyrénées-Orientales, fait état désormais de 21 hospitalisations, dont 10 en service de réanimation. 252 patients ont pu regagner leur domicile. Au total, 373 personnes sont décédées dans les hôpitaux en Occitanie. Le bilan de l'ARS

Le centre de consultation Covid-19 du Bas-Vernet, situé 164 Avenue Maréchal Joffre à Perpignan va fermer ses portes le 30 avril prochain à 18h30. Une décision prise sur ordre de la préfecture des Pyrénées-Orientales. En cause, la diminution significative du nombre de cas de coronavirus dans le département. Trois centres de consultations encore ouverts Pour rappel, le nombre d'hospitalisations au centre hospitalier de Perpignan n'a cessé de décroître depuis plus d'une semaine. Néanmoins, trois centres demeurent ouverts sur la commune de Perpignan : Celui du centre hospitalier, au 20 Avenue du LanguedocCelui de l'ancien hôpital militaire, rue du docteur Zamenhof Et celui du secteur Saint-Jacques, situé 41 Place Jean Moulin.

D’après le nouveau bilan communiqué par l’agence régionale de Santé (ARS), ce dimanche soir, aucun décès supplémentaire n'est à déplorer, le bilan est donc toujours de 28 personnes décédées des suites du coronavirus. Le bilan dans les Pyrénées-Orientales, fait état désormais de 23 hospitalisations, dont 11 en service de réanimation. 251 patients ont pu regagner leur domicile. Au total, 362 personnes sont décédées dans les hôpitaux en Occitanie.

D’après le nouveau bilan communiqué par l’agence régionale de Santé (ARS), ce samedi soir, aucun décès supplémentaire n'est à déplorer, le bilan est donc toujours de 28 personnes décédées des suites du coronavirus. Le bilan dans les Pyrénées-Orientales, fait état désormais de 24 hospitalisations, dont 11 en service de réanimation. 250 patients ont pu regagner leur domicile. Au total, 361personnes sont décédées dans les hôpitaux en Occitanie. Le bilan de l'ARS

Après un hiver relativement doux et un début de printemps plus chaud, la saison des moustiques a déjà débuté depuis quelques jours. Cette année, on constate un démarrage plus précoce, plus net et plus large, avec 89 départements déjà concernés, soit la quasi totalité du territoire. De plus, les premières proliférations et piqûres inhabituelles (départements en vigilance orange), sont apparues bien plus tôt dans la saison cette année, comparé à 2019, où elles sont apparues à la fin du mois de mai et en juin. Manouka. Trois facteurs déterminent la quantité Dans l'Aude, des piqûres et des proliférations inhabituelles ont été observées. Pour rappel, trois facteurs déterminent la quantité de moustiques que l’on peut constater dans une région donnée : Un hiver doux, ce qui permet aux œufs pondus avant l’hiver de survivre jusqu’au printemps et pouvoir ainsi reprendre leur cycle d’évolution après les premières pluies et les premières chaleurs.Des pluies abondantes qui génèrent suffisamment d’eaux stagnantes pour que les œufs pondus puissent y vivre leur processus complet d’évolution jusqu’au stade de moustique adulte en passant par celui de larve.Une fois ces pluies tombées, il faut en moyenne 10 jours de chaleur suffisante (23°C le jour et 15°C la nuit)...

La région compte à ce jour 838 EHPAD. 240 d’entre eux ont signalé au moins un cas possible de Covid-19 via le portail national des signalements d’événements indésirables. Une campagne de dépistage a donc été organisée dans ces établissements. Dès qu’un cas est confirmé soit parmi le personnel soit parmi les résidents, l’ensemble des résidents et du personnel est testé. A ce jour, ce sont plus de 11 000 dépistages qui ont été réalisés dans 147 établissements de la région. Cette campagne se poursuit actuellement dans chaque département. Aujourd'hui ce sont près de 6500 résidents et plus de 4 700 agents qui ont été testés. Au total, ces tests ont permis de confirmer à ce stade 582 cas positifs au Covid-19 parmi les résidents et 277 cas positifs parmi les personnels testés. Les visites désormais autorisées Ces mesures de dépistage s’étendent progressivement à l’ensemble des établissements concernés, selon l’apparition et le signalement des cas. Pour rappel, le gouvernement a annoncé que les visites dans les EHPAD seraient de nouveau &possibles mais dans une cadre sanitaire très strict. Les contacts ne seront toujours pas autorisés, et vous ne devrez venir qu'à deux au maximum, accompagnés d'une attestation dérogatoire.

Les buralistes, via notamment leur confédération et leur président Gérard Vidal, ont annoncé la mise en vente de masques à partir du jeudi 30 avril. Jusque là interdit depuis le décret du 13 mars dernier, la vente de masques était interdite, afin que l'Etat puisse en réquisitionner le maximum pour le personnel soignant. Disponibles pour le grand public le 4 mai Au prix unitaire de 5 euros, les masques seront dans un premier temps vendus à "ceux qui travaillent". Ainsi, "les plombiers, les commerçants et leurs voisins" pourront s'approvisionner chez leur buraliste. Pour le grand public, il faudra attendre la date du 4 mai prochain pour s'en procurer. Les pharmaciens seront les prochains à pouvoir vendre des masques. Réutilisables jusqu'à 20 fois et fabriqués en tissu lavable, ils seront vendus au prix de 5 euros.

En attendant de comprendre si l'explosion des demandes de divorce en Chine est due à la cohabitation forcée imposée par la période de confinement ou au fait que les bureaux sont fermés depuis longtemps, entraînant simplement une accumulation de dossiers dans les jours qui suivent immédiatement la réouverture des installations, ProntoPro.fr, un portail d'offre et de demande de services professionnels, a recueilli les conseils de quelques psychologues inscrits sur sa plateforme, sur la meilleure façon de gérer la vie de couple dans cette phase d'isolement anti-Coronavirus. Confirmant que l'emprisonnement forcé génère des problèmes même pour les couples les plus expérimentés, ProntoPro révèle que depuis le début de confinement en France, les demandes de conseiller conjugal ont augmenté. Ceci est encore plus significatif lorsqu'on le compare à la forte baisse qui a caractérisé les autres services professionnels offerts par la plate-forme. Comment protéger le couple pendant le confinement ? Maintenir une routine Le premier conseil du psychologue est de reconstruire une vie similaire à celle que nous avions en dehors de l’isolement : habillez-vous décemment et soignez votre apparence, comme si vous deviez sortir pour aller travailler, ne mangez pas la première chose dans le frigo, mais préparez des repas complets et réguliers. De cette manière, vous...