Santé

Les premiers vaccins Pfizer BioNtech seront administrés cette semaine dans les Pyrénées-Orientales. l'Agence Régionale de Santé "Occitanie" dévoile la liste des établissements concernés. Ce lundi 4 janvier marque le départ des vaccinations contre le COVID-19 dans les Pyrénées-Orientales. Plusieurs établissements se sont portés volontaires pour administrer les premières injections au cours de la semaine (selon la livraison des vaccins). Il s'agit des EHPAD Louis Male de Prades, Simon Violet Père de Thuir, et Saint-Jacques à Ille-sur-Têt. Les unités de soins de longue durée (USLD), des centres hospitaliers de Perpignan et Prades sont aussi concernés. L'administration se fera en deux temps, deux injections séparées de trois semaines, pour les personnes consentantes. Une partie du personnel soignant pourra également être vaccinée.

Le Royaume-Uni a confirmé l'existence d'une nouvelle souche du coronavirus, plus contagieuse, mais pas plus dangereuse. Les experts de l'U.E affirmaient ce dimanche 20 décembre que les vaccins restaient efficaces. C'est précisément le 14 décembre dernier qu'on a entendu parler pour la première fois de cette nouvelle version du virus, lorsque Matt Hancock, ministre de la Santé britannique la dévoilait à ses députés. Identifiée chez plus de 1 000 personnes, cette mutation de la COVID-19 aurait vu le jour dans le sud-est de l'Angleterre. COVID-19 2.0 62% des contaminations enregistrées à Londres en décembre sont dues à cette nouvelle version et 43% dans le sud-est. Elle contiendrait 23 changements notamment "dans la protéine que le virus fabrique" selon le conseiller scientifique en chef du gouvernement du Royaume-Uni, Patrick Vallance. Si ce COVID-19 2.0 est si préoccupant c'est parce qu'il serait très prompt à se propager rapidement. "De 40% à 70% plus transmissible" explique Pr Peter Openshaw immunologiste à l'Imperial College de Londres, cité par Science Media Centre. Cependant à ce jour, rien n'indique qu'il soit plus dangereux que le virus habituel, ou qu'il rende les vaccins obsolètes. Aucune souche de cette sorte n'a encore été identifiée en France mais il est...

L'opération à risque d’évacuation d'Alain, atteint d'obésité morbide, bloqué dans son habitation dans le centre ancien de Perpignan est en cours, depuis 8h, ce mardi premier décembre. Voila près d'un an qu'Alain est coincé chez lui dans un état sanitaire grave. Les travaux pour l'évacuer ont commencé ce matin. Ils sont considérables et très délicats, plus de 50 personnes sont mobilisées pour assurer son extraction vers le CHU de Montpellier sans endommager encore son état de santé. Travaux techniques et logistiques : 10 effectifs composés de personnels de la mairie de Perpignan et d’entreprises privées. Sécurisation du périmètre : 7 agents de la police municipale de Perpignan et 7 agents de la DDSP 66 Prise en charge du patient : 15 sapeurs-pompiers du SDIS 66 appuyés par une équipe médicale du CHU de Montpellier (3 médecins, 1 cadre de santé IADE, 1 IADE et 2 ambulanciers) et une équipe SMUR 66 du CH de Perpignan ( 1 urgentiste, 1 infirmier et 1 ambulancier) avec une coordination de l’ARS. Le patient est également accompagné par 3 personnes du conseil départemental des Pyrénées-Orientales. Un poste de commandement interservices, situé au plus près du lieu d’action, est en charge de coordonner les différents...

La ville de Port-Vendres met en place un centre de dépistage du COVID-19. Il sera ouvert dès lundi. La municipalité, en partenariat avec les pharmaciens, infirmiers et médecins de la ville met en place un centre de tests antigéniques Covid-19 au Centre culturel, place Castellane, du lundi 30 novembre au vendredi 17 décembre inclus. Pour ces dépistages, priorité sera donnée aux patients avec des symptômes (fièvre, toux, perte de gout ou d'odorat), et à partir de 11 ans. La permanence sera ouverte sans rendez vous et sans ordonnance de 9 heures à midi tous les jours excepté le mercredi et le week-end.  

La triste barre des 100 décès liés à la COVID-19 a été dépassée dans le département des Pyrénées-Orientales.  Un bien triste constat en ce lundi 23 novembre, depuis le début de la pandémie, le virus à pris 102 vies en pays catalan. Une tendance néanmoins à la baisse dans le pays, pour le sixième jour d'affiliée, mais aussi dans les Pyrénées-Orientales ou "seulement" 118 personnes sont hospitalisées à l'heure actuelle dans le pays dont 26 sont placées en réanimation. Un autre chiffre encourageant est la baisse du taux de positivité des tests, qui s'établit désormais a 14%. Des chiffres encourageants qui viennent valider le ralentissement de la diffusion du virus en France et laisse présager, si ce n'est un nouveau déconfinement, un confinement plus souple pour les jours à venir.

Le préfet Étienne Stoskopf ira à la rencontre de personnes sans abri dans le centre-ville de Perpignan, ce jeudi 19 novembre, à partir de 20 heures. Accompagné de David Rogala, directeur opérationnel de la Croix Rouge française départementale, et de Jean-Michel FEDON, directeur départemental de la cohésion sociale, le préfet des Pyrénées-Orientales participera à une maraude ce jeudi soir à partir de 20 heures dans le centre-ville de Perpignan à bord d'un véhicule du SAMU social. La maraude fera le tour des points habituels de présence de personnes sans abris sur Perpignan et pourra se diriger vers d’autres destinations en fonction des appels reçus par le 115. Des masques destinés aux personnes précaires seront distribués.

Un rassemblement lourd de sens avait lieu ce lundi 16 novembre sur la place de la République à Perpignan. Habillés en noir, chaque "non essentiel" avait avec lui un drap rectangulaire sombre, synonyme de tombe. Ils s'écroulaient sur ce dernier à l'annonce de leur corps de métier, qu'un animateur énumérait les uns après les autres. Enfin, un cercueil noir provenant d'un corbillard à été déposé au milieu du rassemblement, représentant "la mort des commerces, des artisans et des TPE non essentielles" annonçait Jean-Jacques Planes, un des acteurs majeurs de l'événement. Partout en France Un rassemblement, respectueux des gestes sanitaires, qui a réuni plus de 1000 personnes selon les organisateurs, moins de 400 selon la préfecture. Une chose est sûre, ce rassemblement dans le centre-ville de Perpignan est loin d'être le seul. En France, la colère des commerçants ne cesse de monter, de multiples manifestations ont eu lieu dans de nombreuses villes du pays. Ce jeudi 12 novembre, le premier ministre Jean Castex annonçait le maintien du confinement jusqu'au 1er décembre, au moins. Les commerces non essentiels pourraient néanmoins rouvrir à cette date en cas d'amélioration de la situation sanitaire.

Début novembre, le Centre Hospitalier de Perpignan a équipé les trois premiers patients diabétiques de ce dispositif. Une première en France. En effet, début novembre, le service d'endocrinologie du Centre Hospitalier de Perpignan a eu l'honneur d'équiper, par ce dispositif révolutionnaire, ses premiers patients diabétiques. C'est une première en France puisqu'il s'agissait des 3 premiers patients en France équipés en vie réelle, hors étude clinique. Qu'est-ce qu'un pancréas artificiel  ? Contrairement à ce que ce terme pourrait laisser entendre, il ne s'agit pas d'un organe que l'on greffe à l'intérieur du corps mais d'un matériel externe posé sur la peau qui va délivrer de manière automatique l'insuline au patient diabétique. Ce dispositif est constitué de 2 éléments communiquant entre eux par Bluetooth : un capteur de glucose posé sur la peau qui va mesurer en continu le taux de sucre et transmettre ces informations à une pompe dite intelligente c'est à dire doté d'un cerveau appelé algorithme qui va être capable de calculer seul les doses d'insuline nécessaires maintenir le taux de sucre du patient dans l'objectif souhaité. Il s'agit d'une avancée majeure pour le patient qui n'a plus besoin de calculer lui-même ses doses d'insuline. Le système fonctionne seul sauf au...

Le mouvement "#Agissons!" appelle le premier ministre Jean Castex à faire le nécessaire pour éviter une année très compliquée aux professionnels de la montagne et au département tout entier. Fin octobre la ministre des sports, Roxana Maracineanu, était restée assez floue au micro d'RMC à propos de l'ouverture des stations de skis : "Les stations de ski, seront-elles ouvertes? Pour l’instant on ne sait pas." Ce manque d'informations a de quoi inquiéter les professionnels de la montagne, qui sentent venir une année très compliquée, malgré la mise en place d'un protocole sanitaire strict, indiqué par Jérôme Meunier, directeur de la station des Angles. "#Agissons!" rappelait, hier dans un communiqué, que la période de janvier à mars est essentielle pour l'économie de la Cerdagne et du Capcir, après plusieurs années très dures suite à des événements météorologiques et à l'affaissement de la RN116. "La propagation du covid-19 est beaucoup plus limitée dans les espaces ouverts" Le mouvement de défense des intérêts du pays catalan appelle le premier ministre, qui connaît bien la problématique de ces territoires, à faire le nécessaire de façon à éviter une année désastreuse pour l'économie de nos Pyrénées-Orientales. "Le gouvernement doit faire confiance aux professionnels qui mettront...

Enfin un vaccin contre le Covid-19 ? Celui développé par Pfizer et BioNTech serait efficace à 90% assuraient les deux laboratoires ce lundi 9 novembre. Plus de huit mois après le début de la pandémie, ces derniers pensent que "cette étape représente un pas en avant significatif pour le monde" dans la lutte contre la Covid-19. Sentiment apparemment partagé par l'Union européenne qui approuvait, hier, un contrat prévoyant l'achat de 300 millions de doses de ce vaccin et dont les premières seraient attendues fin 2020. Pas de précipitation https://twitter.com/pfizer/status/1325767629890592771?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1325767629890592771%7Ctwgr%5Eshare_3&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.nouvelobs.com%2Fcoronavirus-de-wuhan%2F20201109.OBS35875%2Fle-laboratoire-pfizer-aurait-developpe-un-vaccin-efficace-a-90-contre-le-covid.html "Nous sommes fiers d'annoncer, avec @BioNTech_Group, que notre vaccin candidat à base d'ARNm, lors d'une analyse intermédiaire, a démontré des preuves initiales d'efficacité contre la Covid-19 chez des participants sans preuve préalable d'infection par le SRAS-CoV-2."   Si l'urgence est réelle, le vaccin doit d'abord prouver qu'il est "sûr et efficace" expliquait un porte-parole de la commission hier. Les résultats sont encourageants comme l'explique Pfizer dans un tweet : "Le premier ensemble de résultats de notre essai de vaccin Covid-19 de phase 3 fournit la preuve initiale de la capacité de notre vaccin à prévenir le virus." La prochaine et dernière étape à venir étant la demande d'homologation.