Santé

D’après le nouveau bilan communiqué par l’agence régionale de Santé (ARS), ce mardi soir, aucun décès supplémentaire n'est à déplorer, le bilan est donc toujours de 25 personnes décédées des suites du coronavirus. Le bilan dans les Pyrénées-Orientales, fait état désormais de 26 hospitalisations, dont 13 en service de réanimation. 244 patients ont pu regagner leur domicile. Au total, 322 personnes sont décédées dans les hôpitaux en Occitanie.

En Facebook live ce mardi après-midi, le chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Perpignan le dr Hugues Aumaître a confirmé la présence d'une trentaine de cas au cœur du centre hospitalier : "Si mes comptes sont bons, une trentaine de soignants ont été contaminés, Une personne reste hospitalisé à l'heure où on se parle, il y est depuis deux semaines et ça va mieux. Ces contaminations, c'était surtout au début. Ceux qui ont été infectés n'étaient pas du tout au milieu des cas mais plutôt dans des services non à risques sur le papier et qui ne prenaient pas de précautions particulières. On ne peut pas dire avec certitude que tous ont été contaminés dans leur exercice professionnel". Avec un personnel soignant de plus de 3.500 personnes travaillant à l'hôpital de Perpignan. le docteur a quand même tenu à rappeler qu'aucune décision n'a été prise dans l'irrespect des directives sanitaires de ces derniers jours. : "Je tiens à dire que si dans certains hôpitaux, j'ai entendu parler de conception de blouses avec des sacs poubelles à Perpignan, s'il y a eu des périodes de tension, nous n'avons jamais été en rupture. Jamais je n'ai envoyé mon équipe au...

Le chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital de Perpignan le docteur Hugues Aumaître sera en Facebook Live ce mardi à partir de 14h30. Chez nos confrères de France Bleu Roussillon, il répondra à vos questions notamment sur la situation au sein de l'hôpital, sur les récentes annonces du gouvernement et sur le calendrier de reprise des visites.  

D’après le nouveau bilan communiqué par l’agence régionale de Santé (ARS), ce lundi soir, un décès supplémentaire est à déplorer, le bilan est donc de 25 personnes décédées des suites du coronavirus. Le bilan dans les Pyrénées-Orientales, fait état désormais de 31 hospitalisations, dont 13 en service de réanimation. 237 patients ont pu regagner leur domicile. Au total, 313 personnes sont décédées dans les hôpitaux en Occitanie. Le bilan de l’ARS

À la suite de la session matinale du Conseil Départemental des Pyrénées-Orientales, sa présidente Hermeline Malherbe a annoncé vouloir atteindre la barre du million de masques distribué " d'ici la fin juillet". Par ailleurs, elle a également indiqué que 100 000 masques avaient déjà été livrés. À destination des agents du département des Pyrénées-Orientales Ces masques FFP1 voire FFP2 "sont destinés à nos agents qui sont sur le terrain et aussi à tous les personnels travaillant dans des structures départementales comme les maisons médico-sociales, les services de la protection maternelle et infantile (PMI), les EHPAD, les travailleurs sociaux ou encore les aides à domicile" . Le tout pour un montant total avoisinant le million d'euros. Pourtant il n'est pas question de garantir un masque pour chaque résident du département, celui-ci t ne souhaitant pas se substituer à l'Etat. Et Hermeline Malherbe de reprendre "Cependant si certaines petites communes n'ont pas les moyens d'en acheter, on verra avec les intercommunalités et les maires ce qu'il est possible de faire. Nous serons solidaires comme nous le sommes depuis le début de cette crise."

D’après le nouveau bilan communiqué par l’agence régionale de Santé (ARS), ce dimanche soir, aucun décès n’est à déplorer, le bilan reste à 24 personnes décédées des suites du coronavirus. Le bilan dans les Pyrénées-Orientales, fait état désormais de 33 hospitalisations, dont 15 en service de réanimation. 236 patients ont pu regagner leur domicile. Au total, 295 personnes sont décédées dans les hôpitaux en Occitanie. Le bilan de l’ARS

La sirène annonçant le couvre-feu dans Perpignan ne retentira plus à partir de ce vendredi 17 avril. C'est le préfet des Pyrénées-Orientales Philippe Chopin qui en a fait l'annonce hier soir lors d'un live organisé sur la page Facebook de la préfecture. En cause notamment, de nombreux parents se plaignant que cette sirène réveillait leurs enfants en bas-âge, tandis que certaines personnes âgées évoquaient une certaine anxiété vis-à-vis de cette sirène. Et le préfet Philippe Chopin d'indiquer : "Au bout d’un mois de couvre-feu, les gens savent maintenant qu’il faut s’arrêter et rentrer chez soi à partir d'une certaine heure" 

D’après le nouveau bilan communiqué par l’agence régionale de Santé (ARS), ce mercredi soir à 19h25, un nouveau décès est à déplorer, le bilan passe à 23 personnes décédées des suites du coronavirus. Le bilan dans les Pyrénées-Orientales, fait état désormais de 55 hospitalisations, dont 17 en service de réanimation. 216 patients ont pu regagner leur domicile. Au total, 278 personnes sont décédées dans les hôpitaux en Occitanie soit 12 de plus que la veille. Le bilan de l'ARS à 18 heures

Dans les différentes annonces faites ce lundi par Emmanuel Macron lors de son allocution télévisée, il a notamment indiqué la chose suivante : "Les lieux rassemblant du public resteront en revanche fermés à ce stade. Les grands festivals ne pourront se tenir au moins jusqu'à mi-juillet prochain" Prévu du 8 au 11 Juillet prochain, le festival "Les Déferlantes" d'Argelès-sur-Mer est donc directement impacté puisque son annulation vient d'être prononcée.

L'hôpital de Perpignan participe actuellement à une étude, unique en France, sur 150 patients atteints du Covid-19, auxquels est administrée de l’hydroxychloroquine. Menée par le professeur Jacques Reynes, responsable du service des maladies infectieuses et tropicales du centre hospitalier de Montpellier, cette enquête appelée "Covidoc" doit éloigner les polémiques sur l’hydroxychloroquine, qui provoquerait notamment des troubles cardiaques sur certains patients. Une enquête de 10 jours Défendue par l'infectiologue Didier Raoult, elle ne doit pas être administrée sans encadrement médical, selon la recommandation de ce professeur marseillais. Elle fait également débat au sein de la communauté scientifique française en raison des effets secondaires que cette molécule pourrait engendrer. L’enquête Covidoc, validée par l’Agence de sécurité du médicament, doit durer 10 jours. Les patients recevront en tout 800 mg d’hydroxychloroquine par jours, puis 600 mg. Selon Pr. Raoult, une dose de 600 mg dès le premier jour fournirait des résultats positifs.