Faits-divers / Justice

Faits-divers & Justice dans le département des Pyrénées-Orientales et à Perpignan - L'info d'ici : sortir, météo, économie, fait-divers, trafic...

Torreilles : sur la plage, cinq bombes découvertes

Dans les Pyrénées-Orientales, cette semaine, cinq bombes fumigènes des années 1930 ont été découvertes sur la plage de Torreilles. La brigade de déminage de Montpellier s'était déplacée pour cet incident. Ce mardi, sur la plage de Torreilles, cinq bombes ont été découverte dans le sable. Les engins explosifs étaient décrits comme du type fumigène datant des années 1930 et fabriqués pour l'aviation française. Elles ont dû être amenées par la houle du coup de mer de lundi dernier. Un périmètre de sécurité a été mis en place pour éviter tout incident. Deux des cinq bombes ont été détruites par précaution grâce au plasticage. La zone a été nettoyé et selon le service de déminage totalement purgé.

Argelès-sur-Mer : la découverte d’un corps sur la plage de la Marende

Un corps inanimé a été découvert sur la plage de la Marende d'Argelès-sur-Mer sur les 11 heures. Les gendarmes était sur place ce matin. Ce mardi 23 février, un corps a été découvert sur une plage, non loin de la ville d'Argelès-sur-Mer. La personne a été identifiée et serait un espagnol, âgé de 41 ans, sans domicile fixe. Selon nos informations il était activement recherché par les services de gendarmerie d'Argelès. La cause de sa mort laisserait croire à une noyade, car vu les conditions météorologiques ayant agité la mer hier, c'est l'hypothèse la plus probable. Un tas de vêtements aurait été retrouvé sur la plage, et le camion du défunt a été retrouvé dans la commune d'Argelès. Un examen du corps est prévu, mais rien ne laisse penser à une cause autre que la noyade, l'enquête est confiée à la brigade d'Argelès-sur-Mer.

Bompas : l’ESAT prend feu

Un feu s'est déclaré dans l'ESAT de Bompas ce mardi 23 février, aucune personne n'a été touché par cet incident. Ce matin, les pompiers de Perpignan Nord et de Canet ont été réquisitionnés pour un incendie dans les cuisine de l'ESAT (établissement et service d'aide par le travail) de Bompas. À leur arrivée sur les lieux, ni fumée ni flammes, mais l'isolant du bâtiment était en train de se consumer. Les soldats du feu présents sur les lieux se sont organisé pour dégarnir 60 m² de laine de roche dans le faux plafond. Ils ont également procédé à des contrôles via des caméras thermiques pour valider la fin de l'incendie. Aucun blessé n'est à déplorer.

Pyrénées-Orientales : une chute de pierre a perturbé la circulation sur la RN 116

Sur la RN 116, au niveau de Thuès-entre-Valls la circulation a été perturbée ce lundi après-midi. Une chute de pierre a été déclarée sur la route autour des 16h. En début d'après-midi ce lundi, un éboulement sur une route nationale a été déclarée par la préfecture des Pyrénées-Orientales. Dans le sens Perpignan-Bourg-Madame, à hauteur de Thuès-entre-Valls, un bloc de roches a chuté sur le côté de la route, alors que des débris de pierre ont fini sur la chaussée. Cette route est une habituée des incidents de ce type, des chutes de pierres arrivent assez fréquemment quand il pleut. La situation serait désormais maîtrisée, la route ayant été dégagée par la direction interdépartementale des routes du Sud-Ouest.

Affaire Mila : le tribunal a tranché

Le dernier jour de procès pour la mort de la petite Mila a eu lieu ce mercredi 17 février. La belle-mère de l'enfant décédée a finalement obtenu une peine de 20 ans de réclusion criminelle. Le verdict est tombé ce mercredi à Perpignan, Sabrina Meulen a écopé de 20 ans de réclusion criminelle et d'une interdiction des droits civiques, civils et de famille pendant 10 ans. La femme de 35 ans a été retenue coupable de "violences répétées ayant entraîné la mort" dans le procès sur le décès de la petite Mila. Les aveux que l'accusée a prononcée le mardi n'ont pas suffi à convaincre les jurés de la cour d'assises. Après avoir reçu le verdict, Sabrina Meulen n'a pas perdu son impassibilité qu'elle avait gardée durant les plusieurs jours de procès.

Affaire Mila : 20 ans de réclusion criminelle demandé pour l’accusée

Le dernier jour de procès concernant la mort d'une petite-fille de 2 ans, Mila a lieu aujourd'hui. Depuis les faits en 2016, le tribunal de Perpignan a été réquisitionné pour trancher dans cette affaire. La belle-mère de l'enfant décédée a avoué certains faits, mais en nie d'autres, la représentante du ministère public a requis une peine de 20 ans de réclusion criminelle à son encontre. Devant le tribunal de Perpignan, la belle-mère de Mila, comparaissait pour des "violences répétées ayant entraîné la mort sans intention de la donner" datant de 2016 à Trouillas. Mise en cause dans la mort de l'enfant de 2 ans qu'elle avait à charge, Sabrina Meulen, 35 ans a reconnu avoir remué la petite fille, pendant un moment où elle ne se reconnaissait plus. "Je l'ai secouée, mais sans mesurer, j'ai pas voulu lui faire mal. Je l'ai prise par le bassin, je l'ai remuée plusieurs fois". Suite à ces propos, la femme sera jugée définitivement ce 17 février à Perpignan après plusieurs jours de procès. La représentante du ministère public a demandé une peine de 20 ans contre l'accusée, une demande d'interrogation sur un possible interdiction des droits civiques, civils et de famille a été...

Perpignan : en plein procès, il frappe un gardien avec sa chaussure

À Perpignan, un jeune prisonnier incarcéré pour violences était jugé une nouvelle fois pour avoir agressé l'un de ses surveillants de prison. Durant son passage au tribunal, il a de nouveau frappé un gardien avec sa chaussure. Après avoir été arrêté pour violences envers les forces de l'ordre au mois d'août, Nuja un jeune malien clandestin, s'est fait remarqué à nouveau en France lors de l'un de ses procès. Il comparaissait pour des violences sur un surveillant de sa prison, mais il n'a pas amélioré son cas. Nuja devait être libéré le 13 février de la prison de Perpignan, mais le 8 du même mois, il aurait frappé son surveillant venu chercher les poubelles et aurait été appréhendé par un autre gardien de la prison. Suite à ses actions, il a été convoqué à nouveau devant le tribunal de Perpignan. Durant son procès, il n'écoutait pas du tout la présidente et se permettait même de l'interrompre en lui rétorquant "Bon, vous allez me juger ou quoi ?" Il s'était également déchaussé et assis devant la juge qui lui a sommé de remettre sa chaussure rapidement et de se relever, sans succès. Il se relève peu après et tente d'atteindre un...

Pour les experts, la petite Mila a été victime du « syndrome du bébé secoué »

Le procès pour les causes de violences répétées qui ont entrainé la mort de la petite Mila à Trouillas, a repris ce lundi 15 février. Sabrina Meulen qui est jugée depuis vendredi 12 février sur l'affaire datant de août 2016 a été opposée au experts en médecine légale. Le procès incriminant Sabrina Meulen a repris ce lundi 15 février 2021 devant la cour d'assises des Pyrénées-Orientales. L'audition des experts en médecine légale a eu lieu et des conclusions ont été tirée sur les causes de la mort de la petite fille de deux ans. Les professionnels médicaux sont unanimes, la petite fille est décédée d'un oedème cérébral et présentait plusieurs dizaines d'ecchymoses. Ces conclusions sont donc totalement opposées à la version de l'accusé, à savoir une chute unique accidentelle dans la douche. Selon les spécialistes : "une chute, s'il y a eu, ne peut justifier l'ensemble des lésions constatées", l'enfant a été victime d'un"syndrome du bébé secoué", par des actions violentes, "accompagnées, suivies ou précédées de multiples coups portés sur l'ensemble du corps". Pour la seconde hypothèse de l'accusé, qui était que sa fille de 11 ans aurait pu blesser Mila, elle ne tient pas debout vu le gabarit de la jeune fille, l'hypothèse est écartée par...

Incendie spectaculaire à Pia, un bâtiment en flammes

Un incendie spectaculaire s'est déclaré ce matin dans la commune de Pia, aucun blessé n'est à déplorer. Un feu de structure a eu lieu ce jeudi 11 février dans la matinée. Il s'agit d'un bâtiment située 8 avenue du Canigou à Pia. Selon nos informations, la puissance du feu aurait nécessité 25 sapeurs-pompiers du SDIS 66, 2 fourgons et une échelle pour maitriser le brasier. Le bâtiment étant désaffecté, personne n'a été blessé, le feu a été maitrisé aux alentours de 9 heures, la voirie, elle, n'a rouvert qu'à 14 heures après toutes les opérations de sécurisation du périmètre. L'origine du feu est encore inconnue.  

Pyrénées-Orientales : Des interventions en hausse pour les gendarmes

Durant le dernier mois, une recrudescence des interventions des gendarmes a été perçue dans les Pyrénées-Orientales. On constate une grande augmentation d'incidents pendant les week-ends. Les services de maintien de l'ordre des Pyrénées-Orientales recensent près de 50 interventions effectives pour 250 appels reçus au centre opérationnel pour des incidents familiaux, des tapages ainsi que des nuisances diverses de vendredi 5 à dimanche 7 février. Selon les gendarmes, on trouve une activité en hausse durant les week-ends depuis près d'un mois que l'on pourrait comparer à l'activité de la période estivale. Des incidents ont encore été stoppés dans la nuit de samedi à dimanche. Quatre personnes ont été interpellées et placées en garde à vue pour des cas de violences conjugales, conduite en état d'ivresse, ou après avoir été surprises en flagrant délit de tentative de cambriolage. Pendant le couvre-feu, la gendarmerie nationale est de plus en plus confrontée à des incidents, et ce week-end n'y a pas dérogé. Dans la commune de Saint-Cyprien ce samedi soir, les forces de l'ordre se sont déplacées chez un particulier, ils ont découvert que le propriétaire avait réuni près d'une trentaine de personnes lors d'une soirée. Le propriétaire mais aussi une dizaine de convives...

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