Le cirque de Venise au parc des expositions
Les organisateurs questionnent la cohérence de la ville de Perpignan, qui dispose d’une délégation à la protection animale, tout en accueillant un cirque impliquant des animaux sauvages.
Le contexte législatif actuel autorise encore les établissements itinérants à présenter des animaux sauvages jusqu’en 2028. Cependant, la tendance générale se déplace vers des spectacles sans animaux, plusieurs villes françaises et européennes ayant déjà banni cette pratique. Les organisateurs de la manifestation mettent en avant cette évolution et interrogent la position de la municipalité sur ce sujet sensible.
Le parti animaliste interpelle la mairie de Perpignan
La décision de Perpignan d’accueillir le Cirque de Venise suscite perplexité et demande d’explications, surtout de la part du maire, concernant sa position sur la question animale. Ce rassemblement du vendredi 23 février vise non seulement à protester contre le cirque lui-même, mais aussi à inciter à une réflexion plus large sur les loisirs respectueux des animaux et sur le message que la ville souhaite transmettre à ses citoyens.