Le hic ? Montpellier n’était pas préparé pour l’arrivée surprise de cet avion. Cela a laissé la délégation de 34 membres, joueurs et encadrement, coincés à bord pendant une heure avant de se voir offrir une salle pour une courte vingtaine de minutes.
Il était déjà 5h15 lorsque les Dragons ont enfin pu quitter l’aéroport, mais la saga ne s’est pas arrêtée là. Sans transport organisé, et toujours en attente d’une solution de rapatriement vers 5h40, ils ont pris les choses en main. Faisant appel à la technologie moderne, plusieurs joueurs et entraîneurs ont opté pour le service de taxi « Uber » pour les ramener à Perpignan.
La mésaventure s’est finalement conclue avec les premiers joueurs rentrant chez eux vers 8h du matin, après une nuit qu’ils préféreraient sûrement oublier.