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Pyrénées-Orientales

Pyrénées-Orientales : quel avenir pour les discothèques ?

De nombreux patrons d'établissements de nuit étaient présents ce mardi 22 décembre dans les locaux de l'UMIH 66 pour une réunion concernant l'avenir de leur profession.

Les professionnels de la nuit étaient cet après-midi à l'UMIH 66 pour une réunion concernant l'avenir des boites de nuit, fermées depuis le 14 mars 2020, dans le département.

« Il faut arrêter de jouer avec le moral des chefs d'entreprise »

Incompréhension et colère pour les patrons, à l'heure actuelle, aucune indemnisation n'est prévue pour eux. Ce qu'ils réclament c'est une date de réouverture précise, et par dessus tout, « une étude qui prouve la dangerosité des établissements de nuit concernant la du virus » expliquaient-ils, en l'absence de cela, ils restent dans l'incompréhension.

Hervé Montoyo, président de l'UMIH 66 est clair : « on ne peut pas rester fermés encore 6 mois« . À l'heure actuelle, sur les 1 600 établissements de ce type, 325 ont déjà fermé leurs portes depuis le début de la crise. « Si on ne peut pas réouvrir d'ici avril-mai, il va vraiment y avoir de la casse » ajoute-t-il.

Prises de températures, QR codes pour les commandes, neutralisation des de danses, dispositifs de traçabilité, ils assurent être prêts pour une réouverture dans le respect de la situation sanitaire, et pour mettre fin aux soirées clandestines qui se multiplient dans le département et partout en France, et ou les gestes barrières ne sont pas du tout respectés.

« Quand l'état va décider de rouvrir, il faut que ce soit pour tout le monde » continuait le président de l'UMIH 66, en effet les établissement de nuits sont les derniers concernés par ces « réouvertures progressives » que l'on connait.

 

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