Le détenu, qui devait être libéré au printemps prochain, se serait évadé selon nos confrères. C'est un surveillant qui aurait remarqué son absence ce vendredi 27 novembre.
L'homme aurait nié les faits malgré la preuve apportée par les caméras de surveillance et refusé de donner son portable, ce qui est obligatoire.
L'individu, reconnu coupable de violence à l'encontre de son ex-compagne, bénéficiait d'une semi-liberté grâce à des activités de plein air (entretien, débroussaillage…), faveur qui, en raison de la crise sanitaire, lui était retirée, lui imposant de rester en prison 7 jour sur 7, toute la journée, obligation qu'il n'aurait pas respecté.
La sanction : quelques jours d'enfermement total à la maison d'arrêt, ou il aurait de nouveau causé des problèmes en faisant du tapage cette fois.