En ce mardi 1er septembre, jour de grande rentrée, les 61 établissements scolaires de la ville de Perpignan ont rouvert pour accueillir cette année plus de 10’000 élèves. Dans un dossier de presse envoyé aux rédactions ce mardi, Sophie Blanc, l’adjointe à l’Éducation de Louis Aliot a répondu à trois questions.
Comment abordez-vous cette première année scolaire en qualité d’adjointe à l’Éducation ?
« L’éducation est une priorité, c’est l’avenir de notre ville. Je suis ravie de pouvoir m’investir aux côtés des équipes afin de proposer un système éducatif de qualité. En tant que citoyenne mais aussi en tant que maman, je suis ravie que l’éducation me soit attribuée. D’ailleurs, je m’appuierai sur mon parcours professionnel pour apporter un regard plus « extérieur » à la sphère scolaire, qui, je pense, sera un atout dans l’élaboration des projets. Je suis consciente des enjeux que représente l’action éducative. Je pense que c’est en travaillant ensemble, avec les équipes de la direction, les élus mais aussi tous les partenaires à savoir les services publics d’Etat, les collectivités locales, les associations d’éducation populaire, les structures culturelles et sportives, les fédération de parents d’élèves ; que nous œuvrerons efficacement ensemble à la mise en place du Projet Éducatif Local (PEL). »
Parlez-nous du Projet Éducatif Local ?
« Il s’agit d’un dispositif partenarial qui s’étend sur l’ensemble de la ville et se concrétise par le biais d’actions éducatives. Ses objectifs sont d’accompagner chaque enfant dans son parcours d’épanouissement et de réussite, en lui donnant la possibilité de découvrir des activités diverses. Cette année, des projets de grande ampleur vont être mis en place, je pense notamment au dispositif de « la cité éducative » dont bénéficie Perpignan. Il consiste à créer une synergie entre tous les professionnels de l’enfance, pour mettre en place des actions cohérentes et de qualité et ce, sur tous les temps de vie de l’enfant. Il prévoit également de renforcer le rôle des parents et de les impliquer dans l’éveil de leur enfant. »
Comment envisagez-vous la mise en place du programme d’actions compte- tenu du contexte sanitaire ?
« Nous allons nous adapter en fonction de l’évolution de l’épidémie et chaque projet sera mené en stricte adéquation avec les mesures sanitaires que le contexte imposera. Je serais présente sur le terrain, aux côtés des équipes, au même titre que les conseillers municipaux Charlotte Cailliez (déléguée au projet éducatif local), Marie-Christine Marchesi (déléguée au scolaire) et Max Salinas (délégué à la restauration collective). Nous irons dans chaque structure, sur tous les temps, aussi bien en ALAE (accueil de loisirs associé à l’école) que le mercredi ou les vacances dans les ALSH (accueil de loisirs sans hébergement). Plus que jamais, la période que nous traversons nécessite une mobilisation de l’ensemble des acteurs pour accompagner et proposer à chaque enfant un parcours éducatif cohérent avant, pendant et après l’école. »