D’après Louis Aliot, offusqué par les déclarations d’élus -relayées dans la presse locale en octobre dernier-, il ne s’agit pas d’un règlement de compte entre professionnels, mais bel et bien d’entrepreneurs qui se défendent pour sauver leur outil de travail.
Louis Aliot réclame un débat en conseil communautaire
« Au-delà d’un non-sens économique, ce choix porté par quelques-uns contre l’intérêt général, est une aberration » déclare le député. Et d’ajouter, « il y a neuf recours au tribunal administratif contre cette cession de vente, dont un des motifs, au-delà des irrégularités concernant la mise en concurrence et la vente, est l’inaliénabilité du site, afin de préserver définitivement le marché de gros des prédateurs et convoitises ».
Dans son courrier adressé à Jean-Marc Pujol, Louis Aliot demande l’inscription à l’ordre du jour, d’un débat concernant l’avenir du marché. Une association regroupant plusieurs professionnels du marché de gros a été créée récemment. Une manifestation lors du prochain conseil communautaire -12 décembre- n’est pas exclue. A suivre.